Luxembourg

2024-10-14T12:31:42+01:00

Empty Nest

Photo: ©Naohiro Ninomiya

Details

Gratuit

A partir de 10 ans

Durée : 60 min


Lieu

Quartier de Bonnevoie, Luxembourg

Point de départ : Entrée du parvis des Rotondes


Organisateur

Les Rotondes

Pour une meilleure expérience, télécharger l’application GOH sur votre smartphone en amont et amener un casque ou vos écouteurs.

Nostalgie . Exil . Histoire_Sociale

 
Cette création, comparable à un podcast, vous propose une expérience interactive singulière, en vous plaçant directement dans les lieux qui ont inspiré le récit grâce à la géolocalisation.

Empty Nest vous convie à une déambulation à travers les ruelles du quartier de Bonnevoie, à l’écoute de l’histoire d’une mère et de son fils, elle qui est née ailleurs, lui qui a grandi ici. Une histoire singulière et pourtant universelle, car elle porte en elle les récits et témoignages collectés auprès des habitants du quartier. Une histoire qui semble simple, presque commune, mais qui révèle pourtant les complexités de l’exil et les espoirs qui guident chaque pas vers l’inconnu.

Tel un enfant traversant les étapes de la vie, vous êtes invités à cheminer à travers les rues, entre bonheur et désillusion, aux côtés de ceux qui ont entrepris un voyage vers une nouvelle terre d’accueil. Ceux qui, un jour, ont quitté le nid pour laisser place à l’inconnu, à la possibilité de nouveaux départs. Empty Nest évoque le sentiment ambivalent de vide qui se crée alors, rempli de souvenirs et de promesses, teinté à la fois de nostalgie et de satisfaction, où chaque souvenir résonne comme le chant lointain d’une berceuse.

Disponible à l’écoute sur votre smartphone, à partir du 28 septembre 2024, en téléchargeant l’application GOH et en vous laissant guider par elle !

Crédits

Texte : Fabio Godinho
 
Réalisation : Gaëtan Gromer
 
Musique et composition : Gaëtan Gromer and Antoine Spindler
 
Voix : Fabio Godinho
 
Prise de sons : Antoine Spindler
 
Entretiens : Lynn Pook
 
Production : Les Ensembles 2.2
 
Partenaire : Rotondes
 
Remerciements : Catherine, Amaya Achutegui, Natalia Correia, Cathaline Franck, Lynn Franck, Maria Grazia Galati, Rudina Gruda, Neil Hartfield, Liuisa Marasanu, Celeste Monteiro, Luca Parisi, Christine Pelletier, Gundula Piersanti, Jean-Pierre Piersanti, Paul Plier, Yolanta Rezka, Marianne Schummer, Sven Soares, Tiago Teixeira, Gudrun Ziegler

En savoir plus

Acteur, metteur en scène et auteur, Fabio Godinho développe de nombreuses activités autour du corps et de l’écriture. Il arrive en 2006 à Paris, fait des études de théâtre et développe en parallèle de sa pratique scénique une recherche à la Sorbonne Nouvelle en Études Théâtrales (comme directeur de recherche Frédéric Maurin) sur le Jeu et le non-jeu dans le théâtre flamand. Il collabore comme performeur à plusieurs films d’art conçu par son frère et artiste Marco Godinho, en 2017 avec Notes sur cette terre qui respire le feu et avec Written by Water. Au cinéma, il travaille à plusieurs reprises pour Hadrien Besse, et aussi avec Luc Jabon et Lara Mack. En 2021 il travaille avec Christophe Wagner pour la série Netflix Capitani dans lequel il apparaît dans la saison 2 et tient le rôle de Lucian dans le court métrage de Ganael Dumreicher Lucian.

Compositeur, artiste sonore et réalisateur, Gaëtan Gromer, né en 1978, vit et travaille à Strasbourg. Il est également directeur artistique des Ensembles 2.2 (studio de création sonore particulièrement actif dans l’espace public) et membre du comité exécutif et du conseil d’administration d’HACNUM (réseau national des arts hybrides et des cultures numériques). Il fait régulièrement converser son travail avec d’autres disciplines et a notamment travaillé avec Maria La Ribot, Valérie Manteau, Hélène Gaudy, Etienne Fanteguzzi, Sebastian Dicenaire, Eve Risser, Lucie Taïeb, Clara Olivares, LNLO, Samuel et Léo Henry, luvan, Zahra Poonawala, Stéphane Perger, Espèce de collectif…

Formé au Conservatoire de Strasbourg dans les classes d’Ana Haas (violon) puis Claude Ducroq (alto) ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, Antoine Spindler s’est formé (Ircam, Fastlane, PML…) et spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data. Ses expériences lui ont permis de collaborer avec différents ensembles et musiciens (Linéa, Live Animated Orchestra, le quatuor Ethos, Plurium, Clara Olivares, Eve Risser etc…) ainsi qu’avec différents auteurs (Hélène Gaudy, Jean Fauque, Valérie Manteau, Sébastien Dicenaire, Lucie Taieb etc…).

La Ville de Strasbourg, la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité Européenne d’Alsace (CEA) et la DRAC Grand-Est

Quartier Européen, Strasbourg

2024-11-07T17:05:17+01:00

Aux marches du palais

Photo: ©Elisa Hahn

Details

Gratuit

Dès 10 ans

Durée : 45min – 1h

Partenaires

Lieu d’Europe et la Compagnie Rebonds d’histoires

Lieu de départ

Lieu d’Europe

Quartier Européen, Strasbourg


Évènement – Semaine du son 2025

Visites accompagnées de « Aux Marches du Palais« 

Gratuit sur inscription !

Mercredi 29 Janvier 2025 à 16h

et

Samedi 01 Février 2025 à 14h30

Peut-être qu’en plaçant ici cette statue, la Grèce a souhaité renforcer son influence en Europe.

C’est un pari risqué tout de même, que de vouloir mettre les dieux à son service. Notamment Poséidon. Poséidon, un dieu complexe aux multiples facettes.

Poséidon est bien sûr connu pour son emprise sur les flots et le monde sous-marin, mais on le surnomme également « l’ébranleur du sol »

Cette balade contée prend place autour du quartier européen.

Les bâtiments européens ont été construits pour permettre aux pays et à leurs habitants et habitantes de se retrouver, se rencontrer, débattre, faire des lois, discuter, célébrer, se battre pour des idées.

Mais pas seulement. Quand les êtres humains se déplacent, leurs histoires se déplacent avec eux. Alors quand l’Europe s’est faite ici, à Strasbourg, les récits, contes et mythologies de toute l’Europe sont venus aussi. Et avec les récits, tous les personnages, toutes les créatures qui les peuplent. Les dieux. Les monstres. Les elfes. Les fées. Tout un monde parallèle s’est installé ici, à Strasbourg, dans ce quartier.

En bon monde parallèle, il est presque invisible, même si certains de ces personnages aiment s’incarner en statue ou en arbre. C’est ce que nous allons découvrir durant cette balade contée. Alors ouvrez les yeux et les oreilles, nous allons vous aider à débusquer les traces de cet autre monde.

Une fiction sonore disponible sur l’application dédiée – GOH

En savoir plus

Antoine Spindler – Formé au Conservatoire de Strasbourg dans les classes d’Ana Haas (violon) puis Claude Ducroq (alto) ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, Antoine Spindler s’est formé (Ircam, Fastlane, PML…) et spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data. Ses expériences lui ont permis de collaborer avec différents ensembles et musiciens (Linéa, Live Animated Orchestra, le quatuor Ethos, Plurium, Clara Olivares, Eve Risser etc…) ainsi qu’avec différents auteurs (Hélène Gaudy, Jean Fauque, Valérie Manteau, Sébastien Dicenaire, Lucie Taïeb etc…).

Annukka Nyyssönen est née en Finlande d’un père finlandais et d’une mère alsacienne. Développant un intérêt tout particulier pour les histoires, les contes et les mythes, elle en a fait son métier, avec un attrait particulier pour le répertoire des contes merveilleux et des mythes. Elle raconte sur scène, souvent dans les médiathèques, les festivals, les établissements scolaires. Durant une dizaine d’années, elle a suivi les sessions de l’Ecole Noire, avec Myriam Pellicane, un parcours d’entraînement aux arts de la parole qui plonge au sources de la tradition orale. Elle a également été de l’aventure SISTAS, qui a rassemblé une vingtaine de conteuses sur l’île d’Oléron pour s’interroger sur la spécificité artistique au féminin. En parallèle des spectacles, elle mène des causeries et des projets d’actions culturelles et participe volontiers à des expériences collectives et à des projets de territoire, particulièrement au sein du collectif Front de l’Est.

Matthieu Epp est conteur professionnel depuis une quinzaine d’années. Après des études en informatique et un parcours dans l’éducation populaire, il a forgé ses outils au fil des rencontres et des disciplines (musique, danse, théâtre d’objets, improvisation). Il présente ses spectacles à l’échelle de la francophonie (France, Belgique, Québec…) à la fois sur des scènes de théâtre, mais aussi dans les festivals de contes, les médiathèques, les maisons de retraite et les établissements scolaires. Son répertoire s’étend de la mythologie à la science-fiction, avec une tendresse pour le conte traditionnel et le récit de vie. Ses spectacles ne se ressemblent pas. Pour chaque projet, il a à cœur de développer une forme qui servira au plus proche ses enjeux. Ainsi, il propose des tours de conte à domicile avec des instruments acoustiques, comme des formes plus spectaculaires avec de l’image et de la musique électronique.

Après des études de piano classique dans l’enfance, Fabrice Kieffer entre au Conservatoire de Strasbourg et découvre l’improvisation, la percussion, le jazz et les musiques traditionnelles. Il développe une passion pour l’accordéon qu’il étudie en se nourrissant notamment du contact des musiciens du collectif Bal’us’trad. Il s’implique dans toutes sortes de projets artistiques : jazz, musiques improvisées, musiques traditionnelles avec “en passant par la Montagne”, spectacle de rue, fanfare festive, musique de théâtre avec la compagnie Baraban. Son identité est marquée par un éclectisme musical, une curiosité et un polyinstrumentisme permanent.

La Ville de Strasbourg , la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité européenne d’Alsace et la DRAC Grand-Est.

Credits

Texte et voix : Matthieu Epp et Annukka Nyyssönen

Réalisation : Gaëtan Gromer

Musique :  Antoine Spindler

Vielle à roue et accordéon : Fabrice Kieffer

Prises de son : Antoine Spindler 

Application : GOH

Producteur délégué : Les Ensembles 2.2

Partenaires : Rebonds d’histoires et Lieu d’Europe

Reims

2024-07-10T13:45:00+01:00

Une conversation

Photo: ©Matëo Granger

Details

Gratuit

A partir de 12 ans

Durée : 45min – 1h

Partenaire

Saint-Ex, Culture Numérique

Lieu de départ

Parvis de Saint-Ex
Reims

Une conversation est une fiction sonore géolocalisée qui invite à suivre deux femmes au fil de leur déambulation rémoise. Hélène et Lucie se retrouvent alors qu’elles ne se sont pas vues depuis longtemps. La première, qui vit à Reims depuis toujours, a perdu un objet, et pour le retrouver, elle invite son amie à refaire le chemin parcouru la veille. Lucie découvre ainsi la ville à travers les souvenirs d’Hélène.

Elles marchent dans les rues et tandis qu’elles avancent, entre les répliques, on s’interroge : qu’a-t-elle réellement perdu ? Que cherche-t-on ? Qui est Hélène ? Des éléments échappent à la logique et à la chronologie, et peu à peu, dans le dialogue, le passé affleure. D’une rue à l’autre, au fil des architectures et des époques, la discussion opère par télescopage et rupture : le cadre strict du présent explose.

À travers les événements passés et leurs échos présents, à travers les corps d’Hélène et Lucie et leur présence dans la ville, c’est la condition des femmes et leurs contradictions qui sont aussi révélées.

Un projet en construction avec la complicité de Saint-Ex, Culture Numérique.
Une fiction sonore disponible en 2024 sur l’application dédiée – GOH

En savoir plus

Amélie Lucas-Gary est née en 1982 à Arcachon et vit à Paris. Après des études d’Histoire et de Cinéma à la Sorbonne, Amélie Lucas-Gary sort diplômée de l’École Nationale de la photographie d’Arles en 2009. Depuis, sa pratique a évolué, elle a publié trois romans : Grotte (2014) paru chez Christophe Lucquin Éditeur, Vierge (2017) et Hic (2020), parus aux Éditions du Seuil. Ce dernier, écrit lors d’une résidence d’écriture en Nouvelle-Zélande. L’ensemble des romans d’Amélie Lucas-Gary aborde la question de la création : celle de l’univers dans Hic, la genèse de l’auteure dans Vierge, les prémisses de l’histoire de l’art
dans Grotte. Elle travaille régulièrement avec des artistes dans le cadre de catalogues, expositions, ou performances. Elle utilise aujourd’hui, tour à tour ou conjointement, la photographie, la sculpture et l’écriture et propose une forme qui résonne avec le travail de l’artiste et déplace ainsi le regard sur les œuvres. Son travail littéraire est ainsi très emprunt de préoccupations plastiques, mises au service de son appétit pour le romanesque et l’aventure.

Gaëtan Gromer – Compositeur, artiste et réalisateur sonores, Gaëtan Gromer, né en 1978, vit et travaille à Strasbourg.Directeur artistique des Ensembles 2.2 (studio de création sonore particulièrement actif dans l’espace public) et membre du comité exécutif et du conseil d’administration d’HACNUM (réseau national des arts hybrides et des cultures numériques), il fait régulièrement converser son travail avec d’autres disciplines. Il a notamment travaillé avec Maria La Ribot, Valérie Manteau, Hélène Gaudy, Etienne Fanteguzzi, Sebastian Dicenaire, Eve Risser, Lucie Taïeb, Clara Olivares, LNLO, Samuel et Léo Henry, luvan, Zahra Poonawala, Stéphane Perger, Espèce de collectif…
Il est lauréat du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 et ses disques [fri:z] et Noise Level font respectivement partie des dix meilleurs albums Ambient de 2014 selon le webzine français SWQW et des dix meilleurs albums Drone de 2016 pour le webzine américain A closer listen.

Antoine Spindler – Formé au Conservatoire de Strasbourg dans les classes d’Ana Haas (violon) puis Claude Ducroq (alto) ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, Antoine Spindler s’est formé (Ircam, Fastlane, PML…) et spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data. Ses expériences lui ont permis de collaborer avec différents ensembles et musiciens (Linéa, Live Animated Orchestra, le quatuor Ethos, Plurium, Clara Olivares, Eve Risser etc…) ainsi qu’avec différents auteurs (Hélène Gaudy, Jean Fauque, Valérie Manteau, Sébastien Dicenaire, Lucie Taïeb etc…).

La Ville de Strasbourg , la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité européenne d’Alsace et la DRAC Grand-Est.

Credits

Texte : Amélie Lucas-Gary

Réalisation : Gaëtan Gromer

Musique : Gaëtan Gromer, Antoine Spindler

Voix : Pauline Leurent et Marie Seux

Prises de son : Antoine Spindler 

Application : GOH

Producteur délégué : Les Ensembles 2.2

Partenaire :  Saint-Ex, Culture Numérique

Consultante histoire et patrimoine : Véronique Palot-Maillart

Remerciement : Eva Chanoir

Citadelle, Marseille

2024-07-10T13:15:05+01:00

L’île aux chiens

Photo: ©Matëo Granger

Details

Gratuit

A partir de 10 ans

Durée : 25/30 min

Organisateur

La Citadelle de Marseille
Chroniques – La biennale des imaginaires numériques

Lieu

Citadelle de Marseille

« Quand j’étais minote, je rêvais d’être gardienne de phare, et finalement je n’en suis pas si loin. Quand on me demande ce que je fais, je dis que je suis gardienne de Fort.

Vous allez trouver que je me raconte des histoires et c’est pas faux, je suis bien obligée, puisque je suis quand même toute seule toute la journée. C’est assez solitaire comme boulot mais j’ai les échos de tellement d’histoires, j’ai de quoi faire dans ma tête.”

L’ouverture au public, même partielle, du fort Saint-Nicolas en 2024 est un événement très attendu par les habitants de la cité phocéenne. Une lourde grille s’ouvre enfin sur l’un des bâtiments les plus visibles, les mieux identifiés, les plus chargés d’histoire de Marseille – mais aussi l’un des plus mystérieux.

Valérie Manteau vous convie à une exploration des zones d’ombres sensibles qui subsistent dans les interstices de la grande histoire héroïque de Marseille, qui s’est écrite pierre à pierre dans le fort. Une promenade parmi les fantômes qui vous plonge dans les mystères de la Citadelle et met en lumière un épisode méconnu, entouré de fantasmes et de suspicions : l’occupation de la Citadelle par des centaines d’animaux, sous l’égide du service de Santé et Vétérinaire des Armées de 1978 à 2011.

En choisissant de confier son évocation à une intervenante civile, simple promeneuse de chiens, cette fiction sonore, incarnée à hauteur humaine, accompagnera votre déambulation en tâchant de lever le voile sur ces tabous que protègent les murailles qui se dressent au cœur de la ville.

Une fiction sonore disponible dès le 4 mai 2024 sur l’application dédiée – GOH

En savoir plus

Valérie Manteau est auteure, éditrice et chroniqueuse française. Ses deux premiers ouvrages Calme et Tranquille (2016) et Le Sillon (2018) sont édités aux éditions Le Tripode. Pour ces premiers romans, elle s’inspire de la Turquie, pays qui lui est cher, afin de tisser sa narration. En 2018, elle reçoit le prix Renaudot pour son second roman Le Sillon. Elle a fait partie de l’équipe de « Charlie Hebdo » et fut également éditrice aux éditions Les Échappés de 2008 à 2013.
En 2013, elle rejoint le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) à Marseille, comme chargée d’édition et de diffusion. Elle vit désormais entre Marseille et Istanbul.

Gaëtan Gromer – Compositeur, artiste et réalisateur sonores né en 1978, il vit et travaille à Strasbourg.Directeur artistique des Ensembles 2.2 (studio de création sonore particulièrement actif dans l’espace public) et membre du comité exécutif et du conseil d’administration d’HACNUM (réseau national des arts hybrides et des cultures numériques), il fait régulièrement converser son travail avec d’autres disciplines. Il a notamment travaillé avec Maria La Ribot, Valérie Manteau, Hélène Gaudy, Etienne Fanteguzzi, Sebastian Dicenaire, Eve Risser, Lucie Taïeb, Clara Olivares, LNLO, Samuel et Léo Henry, luvan, Zahra Poonawala, Stéphane Perger, Espèce de collectif…
Il est lauréat du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 et ses disques [fri:z] et Noise Level font respectivement partie des dix meilleurs albums Ambient de 2014 selon le webzine français SWQW et des dix meilleurs albums Drone de 2016 pour le webzine américain A closer listen.

Antoine Spindler – Formé au Conservatoire de Strasbourg dans les classes d’Ana Haas (violon) puis Claude Ducroq (alto) ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, Antoine Spindler s’est formé (Ircam, Fastlane, PML…) et spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data. Ses expériences lui ont permis de collaborer avec différents ensembles et musiciens (Linéa, Live Animated Orchestra, le quatuor Ethos, Plurium, Clara Olivares, Eve Risser etc…) ainsi qu’avec différents auteurs (Hélène Gaudy, Jean Fauque, Valérie Manteau, Sébastien Dicenaire, Lucie Taïeb etc…).

La Ville de Strasbourg , la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité européenne d’Alsace et la DRAC Grand-Est.

Crédits : 

Texte : Valérie Manteau

Réalisation : Gaëtan Gromer

Musique : Gaëtan Gromer, Antoine Spindler

Accordéon et Vielle à roue : Fabrice Kieffer

Voix : Stina Soliva et Matëo Granger (version française), Ella Perrin et Richard Doust (version anglaise)

Prises de son, mixage : Antoine Spindler 

Application : GOH

Producteur délégué : Les Ensembles 2.2

Partenaires : La Citadelle de Marseille, Chroniques – Biennale des imaginaires numériques et Radio Grenouille

Belfort

2024-09-03T15:56:03+01:00

Ouwa

Ouwa - fiction sonore géolocalisée

Photo: ©Matëo Granger

Détails

Gratuit

À partir de 12 ans

Durée 45min/1h


Partenaire

Espace Multimédia Gantner

Lieu

Etang des Forges
Belfort

“Les plantes chantent les affects – aux premiers rangs desquels la tendresse et l’attachement – et les émotions – parmi lesquelles on notera, en territoire d’Ouwa, une prédominance de la joie et de la mélancolie.” 

Ouwa est un parcours sonore géolocalisé autour de l’étang des Forges, offrant une expérience immersive qui donne à entendre le vivant.

Durant cette fiction, vous êtes projeté dans un futur lointain, où l’étang des Forges se situe désormais en territoire d’Ouwa. L’autrice luvan vous convie à une rencontre avec le monde végétal. Une utopie où d’étranges mutations sensorielles permettent à quelques individus, appelés “chantres floréales” d’entendre, de voir, de sentir les plantes. 

Plongez dans un univers où les frontières entre l’humain et le végétal s’estompent. Suivez ce parcours poétique, laissez-vous guider et explorez un monde où la nature parle à travers des langages mystérieux. 

Bienvenue en territoire d’Ouwa, où chaque pas est une rencontre avec l’inattendu.

Inspiré par la thérolinguistique de l’autrice de science-fiction américaine Ursula Le Guin, le parcours Ouwa propose une immersion dans un « Et si nous entendions le reste du monde ».

Un projet en construction avec la complicité de l’Espace multimédia Gantner.
 
Une fiction sonore disponible en 2024 sur l’application dédiée – GOH

En savoir plus

luvan est autrice. Son travail s’axe sur l’élaboration de lieux imaginaires complexes, à la fois utopiques et dystopiques, lui permettant de commenter et d’anticiper l’actualité. La fiction est pour elle un outil de réflexion sociale et politique. Passionnée par le son et les matières orales traditionnelles, elle écrit également des pièces de théâtre, pratique la performance et réalise des créations radiophoniques. Elle est membre actif du collectif d’écrivains de science-fiction Zanzibar aux côtés, entre autres, de Sabrina Calvo, Alain Damasio, Catherine Dufour et Léo Henry. Historienne de formation, luvan (de son vrai nom Marie-Aude Matignon) a vécu en Afrique, dans le Pacifique, en France, en Chine, en Scandinavie et en Belgique avant de s’installer en Allemagne.

Gaëtan Gromer est un compositeur, artiste et réalisateur sonores né en 1978. Il vit et travaille à Strasbourg. Directeur artistique des Ensembles 2.2 (studio de création sonore particulièrement actif dans l’espace public) et membre du comité exécutif et du conseil d’administration d’HACNUM (réseau national des arts hybrides et des cultures numériques), il fait régulièrement converser son travail avec d’autres disciplines. Il a notamment travaillé avec Maria La Ribot, Valérie Manteau, Hélène Gaudy, Etienne Fanteguzzi, Sebastian Dicenaire, Eve Risser, Lucie Taïeb, Clara Olivares, LNLO, Samuel et Léo Henry, luvan, Zahra Poonawala, Stéphane Perger, Espèce de collectif…
Il est lauréat du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 et ses disques [fri:z] et Noise Level font respectivement partie des dix meilleurs albums Ambient de 2014 selon le webzine français SWQW et des dix meilleurs albums Drone de 2016 pour le webzine américain A closer listen.

Antoine Spindler – Formé au Conservatoire de Strasbourg dans les classes d’Ana Haas (violon) puis Claude Ducroq (alto) ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, Antoine Spindler s’est formé (Ircam, Fastlane, PML…) et spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data. Ses expériences lui ont permis de collaborer avec différents ensembles et musiciens (Linéa, Live Animated Orchestra, le quatuor Ethos, Plurium, Clara Olivares, Eve Risser etc…) ainsi qu’avec différents auteurs (Hélène Gaudy, Jean Fauque, Valérie Manteau, Sébastien Dicenaire, Lucie Taieb etc…).

La Ville de Strasbourg, la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité Européenne d’Alsace (CEA) et la DRAC Grand-Est

Crédits :

Texte : luvan

Réalisation : Gaëtan Gromer

Musique : Gaëtan Gromer, Antoine Spindler

Voix : Sébastien Bizzotto, Florine Chevrolet, Regis Kante, Pauline Leurent

Prises de son, mixage : Antoine Spindler

Application : GOH

Producteur délégué : Les Ensembles 2.2

Partenaire : Espace multimédia Gantner

Wacken, Strasbourg

2024-11-06T11:21:01+01:00

Dompter les rivières / Die Flüsse zähmen

Photo: ©Naohiro Ninomiya

Détails

Gratuit

A partir de 10 ans

Durée : 1h


Co-producteurs

Festival Musica
Le Maillon – Scène européenne

Lieu

Quartier Wacken
Strasbourg

Départ : Parvis du Théâtre Maillon


Évènement

Journée Franco-Allemande et Semaine du son 2025

 

Visite accompagnée de Dompter les rivières

Mercredi 22 janvier 2025 à 16h

En français et en allemand

Gratuit sur inscription !

DOCUMENTAIRE . PATCHWORK . MUTATION

Une fiction sonore également disponible en version allemande – Die Flüsse zähmen !

Eine geolokalisierte Hörfiktion, die ab dem 18. April auch in der deutschen Version (Die Flüsse zähmen) verfügbar ist!

“BIENVENUE AU WACKEN !

Délimité par l’Ill au nord-est,

l’avenue Herrenschmidt à l’ouest,

la place de Bordeaux au sud et traversé par l’Aar et le canal de la Marne au Rhin.

Le Wacken figurez-vous signifie

« petits cailloux »

Nous sommes

à l’emplacement des anciens lits du Rhin

ici, longtemps, ce ne fut rien

le bout du bout de la ville

terre humide

où nul n’habite »

Dompter les rivières est une fiction sonore géolocalisée, plurielle et polyphonique, qui donne à entendre, le temps d’une balade, la multiplicité des facettes du Wacken, quartier patchwork en perpétuelle mutation.

Un personnage fil rouge, inspiré de la voyante tunisienne présente lors de l’exposition coloniale de 1924, nous guide à travers les siècles et les espaces. Elle nous permet de naviguer entre son présent, le nôtre, et un futur plus lointain (2123). Sa voix en croise d’autres plus neutres, factuelles, emportées, poétiques ou encore politiques. Dompter les rivières, c’est aussi l’histoire d’un lieu qui se met en scène en fonction des idéologies qui l’habitent. Un lieu sauvage et veiné d’eau qui peu à peu, de grands récits en grands récits, cède la place à un environnement utilitariste, complètement maîtrisé.

Mais, sous le décor de cette perpétuelle comédie, l’eau s’écoule toujours paisiblement à la recherche d’interstices propices à son jaillissement.

Une fiction sonore disponible sur l’application dédiée – GOH

En savoir plus

Gaëtan Gromer Compositeur, artiste et réalisateur sonores. Né en 1978, il vit et travaille à Strasbourg. Il est également directeur artistique des Ensembles 2.2 (studio de création sonore). Il fait régulièrement converser son travail avec d’autres disciplines et a notamment travaillé avec Maria La Ribot, Valérie Manteau, Hélène Gaudy, Etienne Fanteguzzi, Sebastian Dicenaire, Clara Olivares, LNLO, Samuel et Léo Henry, luvan, Zahra Poonawala, Stéphane Perger, Espèce de collectif… Il se produit et expose régulièrement à Strasbourg (Musica, Ososphère, ONR, TNS, PMC, Maillon, Pôle Sud, etc.), mais aussi, entre autres, au MAMCO (Genève), au CAC (Vilnius), au CCAM (Vandoeuvre), à l’Oiseau Mouche et au Gymnase (Roubaix), au Laboral (Gijon), au Transient (Paris), à Accès)s( (Pau), au Digital Life (Rome), aux Electric Nights (Athènes), etc.

Eve Risser est une compositrice, pianiste et improvisatrice dont la musique se nourrit à part égale de jazz, d’improvisation, de tradition écrite et de musique contemporaine. Après avoir intégré le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris dans la classe de jazz, elle obtient en 2008 un prix du conservatoire, ainsi qu’un prix de soliste au Concours national de jazz de la Défense. Elle crée en 2019 le Red Desert Orchestra, suite à un fort intérêt pour l’Afrique et une réflexion sur la place du musicien en occident.

Antoine SpindlerFormé au Conservatoire de Strasbourg ainsi qu’à l’Université de Strasbourg en musicologie, il s’est spécialisé dans les musiques électroacoustiques et mixtes. Il enseigne dans la classe de Création et Interprétation Électroacoustique au Conservatoire et à la L’Académie Supérieure de Musique-Hear de Strasbourg. Tout en gardant une activité d’instrumentiste classique (alto), il co-crée en 2009 le collectif Les Ensembles 2.2 et participe depuis à de nombreuses créations et festivals. Actuellement, il joue au sein du trio Jafta avec lequel il sort l’album Traces et dans le duo Svië avec lequel il crée le disque Port Data.

Lucie TaïebNée à Paris en 1977, elle est agrégée d’allemand en 2002 et obtient le titre de docteur en littérature comparée en 2008. Elle est actuellement maître de conférences en études germaniques à l’Université de Brest. Elle pratique une écriture qui traverse divers genres: la poésie, le roman, l’essai et son travail s’associe régulièrement à celui d’artistes. Lucie Taïeb a publié plusieurs recueils de poèmes, ainsi que deux romans aux éditions de l’Ogre. Son deuxième roman, Les échappées, s’est vu attribuer le Prix Wepler en 2019. Elle est également traductrice, notamment de poètes autrichiens parmi lesquels Ernst Jandl et Friederike Mayröcker.

La Ville de Strasbourg, la Région Grand Est, le FEDER, la Collectivité Européenne d’Alsace (CEA), la DRAC Grand-Est et CREAA – Université de Strasbourg.

Crédits

Texte : Lucie Taïeb

Réalisation : Gaëtan Gromer

Musique : Antoine Spindler, Eve Risser

Voix : Fayssal Benbahmed, Pauline Leurent, Maxime Pacaud and Marie Seux

Voix (Allemand): Amélie Belohradsky, Katja Harsdorf, Christophe Palz, Moritz Pliquet

Studio d’enregistrement : Innervision

Traduction : Tatjana Marwinski

Prises de son : Antoine Spindler

Application: GOH

Production : Les Ensembles 2.2

Co-production : Festival Musica, Theater le Maillon – Scène européenne

Schiltigheim Ouest

2024-01-29T13:51:52+01:00

Oniropolis

Visuel: ©Naohiro Ninomiya

Détails

Prix : Gratuit


Organisateur

Festival Musica

Lieu

Schiltigheim
Départ : Parc des Oiseaux, rue de Cronenbourg

ANTICIPATION . RÊVES . TECHNOLOGIE

À partir de 10 ans

Durée : 45/60 min

Dans un futur proche, Oniropolis, un réseau social d’un genre nouveau, est un véritable phénomène auprès des adolescents. Il permet d’enregistrer, géolocaliser et partager ses rêves. Il permet également, grâce à  sa célèbre carte onirique, de glaner les rêves des autres utilisateurs. 

Mais depuis quelques heures, l’application est à l’arrêt. Un bug semble s’être déclenché dans le programme, quelque part en France, vraisemblablement à Schiltigheim. L’entreprise décide alors d’envoyer quelqu’un à l’intérieur d’Oniropolis pour déterminer l’origine de la panne et nettoyer le système. Cette personne, c’est vous.

Oniropolis est une fiction sonore à ciel ouvert, imaginée et produite par Les Ensembles 2.2. Il s’agit d’une histoire à écouter dans les rues de Schiltigheim qui vous transporte dans un monde imaginaire au travers d’un récit d’anticipation.

L’auteur, Sebastian Dicenaire, vit et travaille à Bruxelles, mais est né à Schiltigheim. Avec le duo de compositeurs strasbourgeois Svië, il retourne dans sa ville d’origine pour y créer une fiction sonore qui explore l’univers des rêves et des réseaux sociaux.

Prenez votre téléphone, téléchargez GOH, mettez vos écouteurs et commencez à déambuler. Les secrets enfouis de l’application Oniropolis vous attendent à Schiltigheim…

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Oniropolis est le fruit d’un processus de création familier des trois artistes : l’immersion sur le territoire, puis l’utilisation de la matière récoltée – sons, récits, témoignages des habitants – comme inspiration pour l’écriture et la composition. 

Pour Schiltigheim, ce contenu a été enrichi par la participation des élèves de huit classes des établissements scolaires de la ville, qui ont partagé le regard qu’ils posent sur leur lieu de vie, à travers des anecdotes et des histoires, réelles ou imaginaires. Certains élèves ont même eu l’opportunité de créer un “détour” : un petit parcours sonore exclusif, résultat du travail pédagogique mené auprès d’eux.

 

Toute cette matière a servi de point de départ aux artistes, afin de créer un univers littéraire et sonore intriguant et imprégné des lieux.

Sebastian Dicenaire est né en Alsace, il travaille aujourd’hui à Bruxelles. Écrivain, poète, auteur de fictions radiophoniques et de podcasts, il utilise le langage autant à l’écrit qu’à travers le son ou la vidéo. Il a publié des ouvrages de poésie (Döner-kebab, éd. Héros-Limite ; Personnologue, éd. Clou dans le fer ; Dernières Nouvelles de l’Avenir, éd. Atelier de l’agneau… ). Dans ses performances, il essaie de repousser les limites de l’imagination du spectateur en l’incitant à se créer son propre « cinéma mental » mêlant textes et son. Ses fictions radio mêlent de nombreux genres – poésie et science-fiction, mythologie et technologie – et ont été primées dans de nombreux festivals.

Svië est un duo composé de Gaëtan Gromer et Antoine Spindler, artistes sonores et compositeurs de musique électro-acoustique.

Gaëtan Gromer mène une activité de création aux confluents de la composition, de la performance et de l’installation multimédia. Il utilise l’étonnant pouvoir de suggestion et d’immersion du sonore pour livrer un regard sur le monde, un point d’ouïe particulier, pour “dire” avec le son.  Il est l’un des lauréats du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 à Angoulême et a écrit la musique de Juste l’embrasser de Samuel Henry, prix SABAM au festival international du film fantastique de Bruxelles en 2008.

Antoine Spindler est altiste et enseignant à la Haute école des Arts du Rhin. Membre du Quatuor Ethos et de l’Ensemble Plurium, il a également joué au sein de l’ensemble Linéa et avec l’orchestre Philharmonique de Strasbourg. Il s’est produit sur de nombreuses scènes comme, par exemple, au Festival Musica à Strasbourg, à la Tonhalle de Zurich, ou encore à l’Asian-Pacific Contemporary Music Festival à Séoul en Corée du Sud. Il se spécialise dans les musiques électroacoustiques et mixtes, notamment avec le Live.Animated.Orchestra ou en intégrant le trio Jafta.

Région Grand-Est et DRAC Grand-Est

Crédits

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Texte : Sebastian Dicenaire

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Prises de son : Svië

Visuel : Naohiro Ninomiya

Voix : Pauline Leurent, Milan Morotti

Intervenants pédagogiques : Arthur Gander, Hugo Siclier, Sylvain Debrock

Derush entretiens et ateliers : Valentin Hetzel

Production : Les Ensembles 2.2

Co-production : Festival Musica

Remerciements : Sylvie Zorn, les élèves et professeurs des différents établissements pour leur implication dans le projet.

Belval, Esch-sur-Alzette

2024-01-29T13:49:29+01:00

Détails

Prix : Gratuit


Organisateur

Esch2022

Lieu

Belval, Esch-sur-Alzette, Luxembourg

Début du parcours :
8 Porte de France, Belval

SCIENCE-FICTION . ANTICIPATION . DATA

À partir de 10 ans

Durée : 30 / 45 minutes

Bienvenue à Belval, siège de l’Acid-Reine company, l’entreprise du numérique la plus prometteuse de ces dernières années. Pourquoi êtes-vous venu.e ici exactement ? Et que savez-vous de l’Acid-Reine company ?

Dans ce parcours sonore d’anticipation, une entreprise innovante propose de recycler vos données numériques en énergie verte quasi illimitée. Mais ce succès est teinté de mystère : des deux fondateurs de l’entreprise, l’un est devenu fou, et l’autre a disparu dans des circonstances inexpliquées…

Le récit invite à “passer la frontière” : celle entre le visible et l’invisible, le réel et l’imaginaire ; entre Belval et le reste du monde. La composition musicale retranscrit l’étrangeté du quartier : un lieu moderne, en mutation, multicouches, aux frontières de l’irréel.

Acid-Reine Cie. a été créé dans le cadre du projet In the field, pour Esch2022, Capitale européenne de la culture.

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Belval est un espace délimité, un lieu riche en histoires, qui ne laisse pas beaucoup de place à l’imaginaire, à l’errance, à la marge, à l’inachevé. Cela a donné aux auteurs l’envie de proposer un contre-récit, d’imaginer l’envers du décor.

Ainsi, le quartier a servi de lieu d’incarnation pour le texte, a fixé sa forme et ses limites. La géographie des rues a structuré la narration, a imposé des chapitres, des divisions, des respirations, une ligne de partage. Cette transposition de l’univers fictif dans le réel a aussi servi de trame de fond pour les différents thèmes de l’histoire : le traitement de la data, le rapport entre le numérique et le vivant, les dérives des nouvelles technologies, …

Les compositions musicales retranscrivent l’étrangeté émanant de Belval. Un lieu moderne, en mutation, multicouches, mais qui semble flotter en permanence aux frontières de l’irréel, où il est parfois difficile de distinguer ce qui est authentique de ce qui ne l’est pas, ce qui est « fini » de ce qui se construit. Une sensation qui a fortement coloré la musique.

Belval est un lieu de traces visibles, de sons qu’on interprète plus qu’on ne les identifie. Les compositeurs ont voulu jouer avec cette frontière en proposant des sons ultra-travaillés qui semblent pourtant parfaitement naturels ou en utilisant des enregistrements quasiment bruts qui, hors contexte, semblent complètement stylisés. À l’écoute attentive, certains sons semblent se distinguer mais, chaque fois, quelque chose sème le doute…

Sebastian Dicenaire est né en Alsace, il travaille aujourd’hui à Bruxelles. Écrivain, poète, auteur de fictions radiophoniques et de podcasts, il utilise le langage autant à l’écrit qu’à travers le son ou la vidéo. Il a publié des ouvrages de poésie (Döner-kebab, éd. Héros-Limite ; Personnologue, éd. Clou dans le fer ; Dernières Nouvelles de l’Avenir, éd. Atelier de l’agneau… ). Dans ses performances, il essaie de repousser les limites de l’imagination du spectateur en l’incitant à se créer son propre « cinéma mental » mêlant textes et son. Ses fictions radio mêlent de nombreux genres – poésie et science-fiction, mythologie et technologie – et ont été primées dans de nombreux festivals.

Svië est un duo composé de Gaëtan Gromer et Antoine Spindler, artistes sonores et compositeurs de musique électro-acoustique.

Gaëtan Gromer mène une activité de création aux confluents de la composition, de la performance et de l’installation multimédia. Il utilise l’étonnant pouvoir de suggestion et d’immersion du sonore pour livrer un regard sur le monde, un point d’ouïe particulier, pour “dire” avec le son. Il est l’un des lauréats du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 à Angoulême et a écrit la musique de Juste l’embrasser de Samuel Henry, prix SABAM au festival international du film fantastique de Bruxelles en 2008.

Antoine Spindler est altiste et enseignant à la Haute école des Arts du Rhin. Membre du Quatuor Ethos et de l’Ensemble Plurium, il a également joué au sein de l’ensemble Linéa et avec l’orchestre Philharmonique de Strasbourg. Il s’est produit sur de nombreuses scènes comme, par exemple, au Festival Musica à Strasbourg, à la Tonhalle de Zurich, ou encore à l’Asian-Pacific Contemporary Music Festival à Séoul en Corée du Sud. Il se spécialise dans les musiques électroacoustiques et mixtes, notamment avec le Live.Animated.Orchestra ou en intégrant le trio Jafta

Avec le soutien d’Esch2022, Capitale Européenne de la Culture, ainsi que du Ministère de la Culture français, de la DRAC Grand Est, de la Région Grand Est, du Centre National de la Musique, de la Collectivité Européenne d’Alsace, du département Meurthe-et-Moselle, de la Ville d’Esch-sur-Alzette, de la Ville et Eurométropole de Strasbourg, du LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Research), du festival Musica et du Puzzle Thionville.
En partenariat avec Residhome Luxembourg et le Cottage Luxembourg.

Crédits 

Texte : Sebastian Dicenaire

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler)

Prises de son : Marc Namblard

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Matëo Granger, Yann Hartmann, Pauline Leurent (version française), Richard Doust, Ella Perrin (version anglaise)

Studio Voix : Innervision

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Production : Les Ensembles 2.2

Remerciements : Le Fonds Belval

Lasauvage

2023-07-26T16:19:35+01:00

Détails

Disponible jusque décembre 2023


Prix : Gratuit


Organisateur

Esch2022

Lieu

Lasauvage, Differdange
Luxembourg

Début du parcours

Rue principale de Lasauvage, au niveau de l’église

FANTASY . ÉTRANGE . LÉGENDE

À partir de 12 ans.

Durée : 45-60 minutes

 

Ici, il y a des histoires sous la terre. Des bruits. Des échos. Des voix. Tendez l’oreille et vous les entendrez. Elles cavalcadent le long des pentes. Elles chevauchent les brumes matinales. Elles s’attardent une fois le soleil tombé derrière les collines.

LaSauvage a été écrit par Steve Toase et mis en musique par Eric Holm. Ce parcours sonore s’inspire de la légende de La Femme Sauvage, dont le village où il est situé tire son nom : une femme mystérieuse vivant dans les bois alentours, tantôt guérisseuse, tantôt sorcière.

La narration s’est formée à partir de plusieurs récits, qui ont subi une série de processus de transformation inspirés de ceux utilisés pour l’extraction et le travail du fer. Le passé industriel de la région se retrouve ainsi au cœur des textes, fusionnant avec les légendes. La musique fait naître une atmosphère intrigante, retranscrivant l’âme du lieu et ses histoires cachées.

LaSauvage a été créé dans le cadre du projet In the field, pour Esch2022, Capitale européenne de la culture.

 

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Influencés par l’approche de Jeff Noon dans Cobralingus, les textes ont été déformés, remaniés et reconstitués pour créer quelque chose de nouveau. En fusionnant ainsi la légende de La Femme Sauvage avec le passé industriel de la vallée, celui-ci se retrouve au cœur du récit et le texte en est complètement transformé.

Le parcours accorde une place importante aux frontières, qui sont au cœur du folklore qui entoure la légende de La Femme Sauvage : frontières entre notre monde et le monde souterrain, entre l’humain et l’animal, entre la civilisation et la vie sauvage, entre les damnés et les sauvés. Certaines frontières sont déjà présentes dans les mythes locaux, comme celui de la Pierre de Cron, sous laquelle La Femme Sauvage s’est étendue, se laissant entraîner dans les enfers. D’autres sont générés par le processus aléatoire utilisé pour l’écriture : celui-ci crée une tension où l’écrivain n’a pas le contrôle total de la forme finale des histoires et la structure du texte, se trouvant constamment à la frontière entre lisibilité et chaos.

La musique quant à elle, laisse percevoir des accords “en suspens”, qui ne se terminent jamais vraiment, créant une tension, une incertitude quant aux émotions transmises.Les accords se jouent en séquence mais également seuls, chacun débordant presque sur le prochain, chacun constituant une transition vers un nouvel état de perception. Tout cela se produit en parallèle d’une ambiance mouvante et chatoyante en arrière-plan, faîte de sons majoritairement enregistrés sur site. Ces derniers sont façonnés afin d’évoquer un sentiment de vie, de montrer l’âme du lieu, mais aussi les histoires cachées derrières les rochers et les arbres, sous les maisons, enterrées dans les mines et dans la terre elle-même.

La conception sonore n’est pas destinée à servir de bruits de fond pour la narration, mais à compléter, contraster, et, par endroits, entrer en conflit avec les histoires. En se promenant d’un endroit à l’autre de Lasauvage, les environnements sonores offerts à l’écoute font ressortir des aspects spécifiques des lieux et les entremêlent avec l’écriture. Cette approche a permis d’extraire des éléments qui connectent pleinement l’auditeur aux mots et à la terre, suggérant parfois des choses cachées juste au-delà des limites de la perception immédiate et de la conscience. Écoutés au casque, les sons créent une expérience incroyablement proche du lieu, tout en connectant l’auditeur à un personnage caché qui n’est pas facilement visible à la surface de Lasauvage.

Steve Toase est auteur. Né dans le nord de l’Angleterre, il vit actuellement à Munich, en Allemagne. Dans ses œuvres de fiction déconcertantes, des arbres peuvent faire de l’auto-stop et des ours jouer aux échecs sur des places ensoleillées. Il écrit régulièrement pour le mensuel Fortean Times et le webzine Folklore Thursday. Ses fictions ont été publiées dans de nombreux magazines, ainsi que dans l’anthologie The Best Horror of The Year.  À partir de 2014, il a travaillé avec Becky Cherriman et Imove sur le projet Haunt,  à propos des sans-domiciles fixes de la ville de Harrogate et du contraste dérangeant entre leur situation et la prospérité économique de la ville. Son premier recueil de nouvelles, To Drown In Dark Water, a été publié  en avril 2021 chez Undertow Publications 

Eric Holm est un artiste sonore et compositeur américain. Son travail est lié à des lieux spécifiques : il utilise des enregistrements de terrain, s’inspirant de divers endroits, pour créer des paysages sonores immersifs. Plongeur depuis 20 ans, ses compositions ont pour thèmes les nombreuses dimensions de la mer et de sa relation personnelle avec elle. Son premier 33 tours, Andøya (2014), était un projet de terrain réalisé à partir d’enregistrements de pylônes de communication qui reliaient des stations d’écoute sur une île isolée de l’Arctique norvégien. Il a été suivi de Barotrauma (2016), réalisé à partir d’enregistrements près d’Oslo. Son dernier travail, Surface Variations (2020), une réflexion sur La Mer de Debussy, a été réalisé lors d’une plongée sur la côte sud de l’Angleterre. Eric s’est produit dans toute l’Europe et au Royaume-Uni. Son travail est publié sur Subtext.

Avec le soutien Esch2022, Capitale Européenne de la Culture, ainsi que du Ministère de la Culture français, de la DRAC Grand Est, de la Région Grand Est, du Centre National de la Musique, de la Collectivité Européenne d’Alsace, du département Meurthe-et-Moselle, de la Ville d’Esch-sur-Alzette, de la Ville et Eurométropole de Strasbourg, du LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Research), du festival Musica et du Puzzle Thionville.
En partenariat avec Residhome Luxembourg et le Cottage Luxembourg.

Crédits 

Texte : Steve Toase

Musique : Eric Holm

Prises de son : Eric Holm, Marc Namblard

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Mathilde Melero (version française), Ashley Billings (version anglaise)

Studio voix : Innervision

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Production : Les Ensembles 2.2

Remerciements : Frédéric Humbel, Minett Park

Audun-Le-Tiche

2023-07-26T16:19:47+01:00

Détails

Disponible jusque décembre 2023


Prix : Gratuit


Organisateur

Esch2022

Lieu

Audun-Le-Tiche
Moselle

Début du parcours : à proximité du Fond de Kahler, Ottange

Parking : repère 16 de la départementale 15


À partir de 10 ans

60 / 90 minutes

FANTASY . CONTES . QUÊTE

À partir de 10 ans

60 / 90 minutes

Ensemble nous allons partir à la recherche d’une mystérieuse créature qui hante le bois depuis une éternité. Je ne suis plus en état de me déplacer malheureusement, mais grâce à cette application, je vais pouvoir te guider. D’ailleurs, elle nous permettra aussi de capter et d’entendre la voix de cette mystérieuse créature pour comprendre qui elle est et ce qu’elle fait là. Enfin, si tout fonctionne comme prévu.

La Borne de Fer est un parcours sonore où les participants sont dirigés par le concepteur d’un “détecteur de zones d’émission sonore”. Le but est de découvrir ce qui se cache dans les bois depuis l’époque romaine, en retrouvant les bribes d’histoires éparpillées dans la forêt.

Imaginée à partir de l’histoire de la région, cette quête s’inspire également du potentiel poétique et légendaire de la forêt de la Borne de Fer et de son paysage marqué par l’extraction minière.

La Borne de Fer a été créée dans le cadre du projet In the field, pour Esch2022, Capitale européenne de la culture.

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Les récits traversent plusieurs époques, du temps des romains jusqu’aux temps modernes. Ils sont intrinsèquement liés à la forêt et à l’activité minière qui a structuré la région au fil des siècles. Dans la mesure où il n’existait pas de légendaire pour la forêt de La Borne de Fer, les artistes ont eux-mêmes inventé des légendes à partir de l’histoire de l’extraction du fer et d’un personnage qui hanterait les bois depuis l’Antiquité.

Dans la rédaction des histoires, on retrouve de manière très présente le thème des frontières. Il est abordé à différents niveaux : le premier, le plus évident, est celui qui porte sur la frontière entre l’espace de la forêt et des espaces plus civilisés (ville, champs, fermes…). Un autre s’est établi entre l’humain et le monstre, ou plutôt le regard que l’on porte sur le monstre. On peut aussi envisager une frontière entre le temps de la balade et les espaces temps convoqués par les récits.

D’autres thématiques transparaissent dans les textes, notamment celle de l’appât du gain. Les traces de l’exploitation du fer dans le paysage, visibles partout dans la forêt, rappellent combien de personnes à travers l’histoire ont cherché à s’enrichir sur ce territoire. Le parcours choisit ici de transposer cette quête de richesse en créant une légende où les hommes ne chercheraient pas uniquement du minerai, mais bien un vrai trésor caché au cœur de La Borne de Fer.

La composition musicale vient s’inscrire dans un paysage sonore existant déjà très riche.

Au début du parcours, la voix d’un narrateur apparaît sur un grand chemin séparant forêt et champ. Cette voix masculine est celle de la personne qui a créé l’application que l’auditeur utilise, afin de retrouver un trésor perdu. On entend aussi la voix féminine qui essaye d’attirer l’auditeur dans la forêt, car elle y est prisonnière depuis l’Antiquité.

Le contraste entre ces deux voix permet de créer une frontière très nette entre la nature sauvage (la femme qui essaye d’attirer l’auditeur dans la forêt) et le monde civilisé (le maitre du jeu qui a créé l’application). Tout au long du parcours, on entend une voix qui oscille entre le parlé et le chanté, afin de rappeler l’univers des contes, qui sont depuis la nuit des temps accompagnés d’instruments. Antoine Spindler joue pizzicato (cordes pincées) sur son alto pour rappeler cet aspect.

Conteur professionnel, Matthieu Epp présente ses spectacles en France, en Belgique et au Québec ; sur des scènes de théâtre, mais aussi dans les festivals de contes, les médiathèques, les maisons de retraite et les écoles. Entre 2013 et 2018, il a développé le projet « Il y a des portes», mélange de spectacle vivant, podcast, jeu vidéo, écriture numérique et improvisation. Lauréat du dispositif Tango&Scan, il mène depuis 2017 des ateliers de création de jeux vidéo dans des collèges. Il développe également la chaîne YouTube de la compagnie Rebonds d’histoires, et a créé « Les Runes d’Odin », un spectacle qui croise jeu vidéo et narration, où la participation du public influe sur l’histoire racontée.

Svië est un duo composé de Gaëtan Gromer et Antoine Spindler, artistes sonores et compositeurs de musique électro-acoustique.

Gaëtan Gromer mène une activité de création aux confluents de la composition, de la performance et de l’installation multimédia. Il utilise l’étonnant pouvoir de suggestion et d’immersion du sonore pour livrer un regard sur le monde, un point d’ouïe particulier, pour “dire” avec le son.  Il est l’un des lauréats du prix européen d’arts numériques Imagina Atlantica 2012 à Angoulême et a écrit la musique de Juste l’embrasser de Samuel Henry, prix SABAM au festival international du film fantastique de Bruxelles en 2008.

Antoine Spindler est altiste et enseignant au conservatoire, à l’Académie supérieure de Musique de Strasbourg. Membre du Quatuor Ethos et de l’Ensemble Plurium, il a également joué au sein de l’ensemble Linéa et avec l’orchestre Philharmonique de Strasbourg notamment. Il s’est produit sur de nombreuses scènes comme, par exemple, au Festival Musica à Strasbourg, à la Tonhalle de Zurich, ou encore à l’Asian-Pacific Contemporary Music Festival à Séoul en Corée du Sud. Il se spécialise dans les musiques électroacoustiques et mixtes, notamment avec le Live.Animated.Orchestra ou en intégrant le trio Jafta.

Avec le soutien d’Esch2022, Capitale Européenne de la Culture, ainsi que du Ministère de la Culture français, de la DRAC Grand Est, de la Région Grand Est, du Centre National de la Musique, de la Collectivité Européenne d’Alsace, du département Meurthe-et-Moselle, de la Ville d’Esch-sur-Alzette, de la Ville et Eurométropole de Strasbourg, du LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Research), du festival Musica et du Puzzle Thionville.
En partenariat avec Residhome Luxembourg et le Cottage Luxembourg.

Crédits 

Texte : Matthieu Epp

Musique : Svië (Gaëtan Gromer, Antoine Spindler) 

Prises de son : Marc Namblard

Illustration : Valérie Etterlen

Voix : Sylvie Brucker, Matthieu Epp (version française), Richard Doust, Julia Whitham (version anglaise)

Studio Voix : Innervision

Direction artistique : Gaëtan Gromer

Remerciements : Ecole élémentaire Jules Ferry (Russange)


Production : Les Ensembles 2.2

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